Description
Programme
Formation pratique
- Technologie – Hygiène – Prévention – Secourisme
- Economie – Gestion
- Prévention – Santé – Environnement
- Atelier
Formation théorique
- Mathématiques – Physique
- Anglais
- Français
- Histoire – Géographie – Education civique
- Arts Appliqués
- EPS
Moyens et méthodes pédagogiques
Pour vous aider, une pédagogie active est mise en œuvre. Elle se base sur votre vécu en entreprise, vous missionne pour observer, découvrir, essayer, pratiquer sur le terrain. Ainsi, elle vous permet de développer pas à pas vos savoirs, savoirs faire et savoirs être.
Débouchés
et poursuites d'études
Débouchés professionnels
Le mécanicien doit suivre des matériels de plus en plus complexes en raison de l’évolution très rapide des technologies informatiques et électroniques. Il peut travailler chez un distributeur, un concessionnaire, un artisan rural, dans une entreprise de vente, de maintenance, ou dans une entreprise ou une collectivité utilisatrice de matériels.
Poursuites d'études
- BTS ou spécialisation en Maintenance des équipements embarqués sur matériel agricole.
- BTS Génie des équiepements agricoles (GDEA)
- BTS Analyse, Conduite et Stréatégie de l’Entreprise (ACSE)
- SIL ou CQP Hydraulique Electronique ou Climatisation
Modalités
- Avoir entre 16 et 29 ans
- Avoir signé un contrat d’apprentissage
- Jeunes issus de 3ème : sur dossier et entretien
- Jeunes issus de CAP : entrée en seconde ou première suivant le carnet scolaire et les résultats à l’examen
Cycle de formation de trois ans (2de – 1ère – Tale).
Jeunes issus de CAP : possibilité d’entrée en première suivant le carnet scolaire et les résultats à l’examen.
Entretien dans les 30 jours suivant le 1er contact
Contrôle continu (50%) et examen final (50%)
Les locaux sont entièrement accessibles aux personnes à mobilité réduite. Réglementation ERP – Orientation et adaptation pédagogique possible, tutorée par un référent handicap.
Pour 12 mois : 10 500 € / Formation prise en charge par les OPCO et le les financements obtenus par le CFA. Le reste à charge pour l’apprenti et l’entreprise est donc nul.